• Après avoir vaincu l’alcoolisme, Daniel Radcliffe doit maintenant affronter une autre maladie. Il est atteint d’algies vasculaires qui le font atrocement souffrir.

    Si Daniel Radcliffe était vraiment magicien, il utiliserait surement sa baguette magique pour faire disparaître le mal qui le ronge.

    Dans une interview accordée à The Independant, le jeune acteur s’est confié sur la maladie dont il est atteint. Lui qui pensait être «une mauviette» souffrant de maux de têtes à répétition a finalement été diagnostiqué de la céphalée de Horton.

    Ce mal extrêmement rare ne touche que 0,1% de la population mondiale. Daniel Radcliffe qui se soignait à coups d’antidouleurs «pris par douzaine», ou de doses d'alcool conséquentes, a finalement dû se faire à l’idée qu’il ne s’agissait pas de simples migraines.

    Pour le docteur Peter Goadsby de l’University College de Londres, les algies vasculaires de la face dont souffre l’apprenti-sorcier sont tout simplement «la pire douleur qu’un humain puisse endurer».
    Malgré les douleurs, Daniel Radcliffe veut garder espoir. Il est actuellement soigné par injections.

    L’acteur dont la carrière décolle au cinéma et au théâtre depuis la fin d’Harry Potter est pourtant contraint d’organiser son emploi du temps en fonction de sa maladie.
    Et l es fans du jeune homme, eux, vont certainement se mettre en quête d’une potion magique pour venir en aide à leur héros.


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  • Les policiers ont découvert par hasard les vols qu'auraient commis huit douaniers.

    Ils étaient des douaniers chevronnés, affectés à une tâche particulièrement sensible : le contrôle de valises suspectes dans la zone bagage de l'aéroport de Roissy.

    Mais en enquêtant sur un trafic de drogue, des policiers se sont aperçus que plusieurs douaniers détournaient en fait des valises contenant de l'argent. Huit d'entre eux ont été arrêtés. Comment l'enquête a permis de remonter jusqu'à eux ?

     

    Le douanier piquait les valises

    Tout commence il y a deux mois par une banale surveillance dans une enquête sur un réseau international de cocaïne. Des policiers de l'Office central de lutte contre le trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS) mettent en place une filature pour démasquer les trafiquants.

    Mais c'est en fait un douanier qu'ils surprennent en train de voler la valise - pleine d'argent liquide - qu'ils surveillaient.

    Les policiers vérifient tout de même que ce douanier n'a pas agi sur ordre de sa hiérarchie. Mais ses chefs "tombent des nues" et assurent qu'il n'était pas en mission.

    C'est donc une nouvelle enquête qui commence et le douanier est placé sous surveillance étroite. "À l'origine, les policiers, qui pensaient avoir affaire à un agent véreux agissant en solitaire, envisageaient de purger l'épisode en l'interpellant sur-le-champ", explique une source proche du dossier au Figaro.

     

    Un trio efficace

    Mais les enquêteurs s'aperçoivent rapidement que le douanier a un complice - un de ses collègues qui travaille également en zone bagage.

    Le duo semble également être de mèche avec un troisième homme, un douanier à la retraite "qui assure un rôle logistique en accueillant et conduisant ses comparses vers des institutions bancaires pour y déposer leur butin" précise le Figaro.

    Les comptes en banque des douaniers indélicats ont été passés au crible. A ce stade de l'enquête, les policiers estiment qu'ils ont pu détourner plus de 2 millions d'euros. Lors de perquisitions aux domiciles des trois suspects, ils ont découvert des liasses de billets - en euros et en dollars.

    Des comptes en banque un peu trop fournis

    Les policiers n'étaient pas au bout de leurs surprises. En garde à vue, les trois douaniers ont lâché les noms de cinq complices présumés. Selon Le Figaro, il s'agirait "de modestes fonctionnaires qui disposeraient pour certains de comptes bancaires à l'étranger, pour d'autres de coquettes sommes en liquide à leur domicile".

    L'enquête devra désormais déterminer si ces douaniers indélicats ont utilisé les moyens perfectionnés mis à leur disposition dans le cadre de leur mission pour cibler les bagages qu'ils dérobaient. Les policiers se demandent pas ailleurs s'ils n'auraient pas fermé les yeux sur certains trafics, en échange de "quelques" billets.


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  • Et revoilà Nadine Morano, et revoilà la polémique. Invitée de l’émission «C à vous» sur France 5, l’ancienne ministre de l’Apprentissage s’est mise en colère contre un reportage réalisé sur sa campagne et s’est défendue de la manière la plus maladroite qu’il soit.

     «Me faire passer pour quelqu’un qui serait raciste alors que j’ai des amis qui sont justement arabes, dont ma meilleure amie qui est tchadienne et donc plus noire qu’une Arabe…», lâche-t-elle avant de se faire couper par son interlocuteur , un peu étonné de sa réponse.

    Mais celle qui a été battue à Toul dimanche dernier reprend: «et c’est choquant pour ma famille», ces accusations, «et c’est ma famille que je dois protéger». Pas sûr que ce soit la meilleure manière d’y parvenir.

    Candidate en Meurthe-et-Moselle, elle avait déjà créé la polémique dans l’entre-deux  tours des législatives en accordant une interview au journal d’extrême droite Minute dans laquelle elle expliquait avoir «les mêmes valeurs» que les électeurs du FN.

    Puis elle s'était fait piéger par l'humoriste Gérard Dahan qui s'est fait passer pour Louis Aliot, à qui elle confiait que Marine Le Pen avait «beaucoup de talent». Même François Fillon l’avait alors tancée.


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  • Douze salariés ont été récemment licenciés de la société de marketing sensoriel Mood Media à Feucherolles (Yvelines) après avoir refusé d'être transférés en Roumanie.

     

    D'aprè l'AFP, douze salariés ont été récemment licenciés de la société de marketing sensoriel Mood Media à Feucherolles (Yvelines) après avoir refusé d'être transférés en Roumanie.

    Le quotidien a recueilli le témoignage d'une des employées : Nathalie Dussert, 48 ans, employée depuis 13 ans dans cette société, a appris comme ses onze collègues le 12 avril que son poste était transféré en Roumanie. "J'ai été licenciée pour motif personnel mais il s'agit d'un licenciement économique", dénonce-t-elle. "J'ai eu quinze jours pour accepter ou refuser. Et il a fallu poser les bonnes questions, car ils nous disent qu'on gardera notre salaire français mais, en arrivant sur place, on nous fait un nouveau contrat roumain à 632 euros par mois, sans couverture sociale", dit-elle. La quadragénaire, qui élève seule ses enfants, envisage de saisir la justice.
     
    La société Mood Media, groupe mondial spécialisé dans le marketing sensoriel, emploie 163 salariés en France. Le directeur juridique de Mood Media, Bruno Besson, assure que dans le cas d'un transfert d'activité, "la loi nous oblige" à transférer automatiquement les contrats et ne permet "pas de licencier pour motif économique". Si un salarié avait accepté la proposition, il aurait gagné "le même salaire versé par la société roumaine", ajoute-t-il. "L'entreprise acceptera d'aller au-delà de ce que prévoit un licenciement classique et va donner plus que pour un licenciement économique", promet M. Besson, précisant notamment que le paiement d'une formation a été proposé aux salariés, qui bénéficieront d'une priorité à l'embauche d'un an. M. Besson, qui souligne que Mood Media a embauché 30 personnes en CDI depuis 2010 en France, assure également que l'inspection du travail a été informée.
     
    Du côté de la CGT, Alain Hinot estime que l'employeur a "voulu éviter un plan de sauvegarde de l'emploi, qui est beaucoup plus lourd", en présentant la situation comme un "prétendu transfert" et non comme une délocalisation. "Cela a été fait pour brouiller les pistes", fustige-t-il. L'un des salariés, délégué syndical CGT, avait dans un premier temps accepté la proposition de transfert. Ne s'étant pas présenté en Roumanie, il a été licencié pour abandon de poste. Il contestera son licenciement le 29 juin devant le conseil des Prud'hommes de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).


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  • Le basketteur français Tony Parker réclame 20 millions de dollars de dommages et intérêts à la discothèque new-yorkaise dans laquelle il a été blessé à l’œil au cours d’une rixe entre les chanteurs Chris Brown et Drake, selon le New York Post.

    Touchée à la cornée, juste avant les JO

    « J’étais tranquille avec des amis lorsqu’une baston a éclaté. Ils ont commencé à balancer des bouteilles partout. J’ai cherché à protéger ma copine et c’est moi qui ai tout pris. » De retour en France vendredi dernier, Tony Parker avait choisi d’évoquer publiquement la rixe dans laquelle il s’est retrouvé dans la nuit du 13 au 14 juin, à New York.

    Lunettes noires sur le nez, le meneur de jeu de l’équipe de France indiquait être contraint au repos pendant une semaine, pour protéger sa cornée, tout en se montrant rassurant quant à sa participation aux Jeux olympiques de Londres.

    Jeudi soir, le New York Post, citant des documents de justice, a révélé que Tony Parker réclamait 20 millions de dollars de dommages et intérêts (soit près de 16 millions d’euros) à la boîte de nuit où s’est produite la rixe.

    La discothèque accusée de « négligence »

    Le meneur des San Antonio Spurs reproche aux propriétaires du W.i.P. d’avoir fait preuve de « négligence en permettant à l’entourage de Drake et à celui de Brown de se trouver dans la discothèque au même moment, sachant combien les tensions sont fortes » entre les deux artistes, qui se seraient disputés au sujet de la chanteuse Rihanna.

    Fermée depuis les faits, la boîte de nuit aurait même « jeté de l’huile sur le feu » en servant de l’alcool aux deux camps, selon l’avocat de Tony Parker, David Jaroslawicz.


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