• Selon le site Torrentfreak Game of Throne serait la serie la plus piraté par les internautes en 2012.

    Game of Thrones est sans conteste la série du moment, tant par sa qualité que par sa popularité.

    Avec 3,9 millions de téléchargements par épisode, la série qui met en scène l’univers de Westeros créé par George R. R. Martin est largement devant les autres shows à succès en terme de piratage.

    How I Met your mother est lui deuxième, avec environ 2,8 millions de téléchargements par épisode. The Big Bang Theory est lui troisième avec un score de 2,7 millions. Game of Thrones totalise à chaque épisode environ 4,2 millions de spectateurs aux États-Unis.


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  • Le site internet parismatch.com affirme mardi que l'ancien chef de l'Etat a obtenu une garde rapprochée de dix policiers pour lui et sa famille. Le tout pour un coût de 700.000 euros par an.

    Terminée la fonction présidentielle, Nicolas Sarkozy continue d'assurer sa sécurité. Et pour se faire dix policiers devraient suivre l'ex-président pour un coup qui devrait dépasser 700.000 euros par an, affirme mardi le site parismatch.com. L'entourage de l'ancien président n'a pas voulu commenter ces chiffres, sans toutefois les contester. "Je n'ai pas à rentrer dans les chiffres, ni dans le détail du dispositif ", a dit à l'AFP une source dans l'entourage de M. Sarkozy.

    "Ce n'est pas l'ancien président de la République qui décide des effectifs de sécurité autour de lui, mais les services concernés, en l'occurrence le SPHP" (Service de protection des hautes personnalités), a-t-on ajouté, soulignant que le dispositif était "ajustable en fonction des risques de menaces autour de la personnalité".
     
     Le site internet de l'hebdomadaire Paris-Match affirme que l'ancien chef de l'Etat "a demandé et obtenu "que dix policiers -dont deux chauffeurs- soient "désormais affectés à sa protection ainsi qu'à celle de sa famille".

     

    Une protection assurée à tous les anciens Président de la République
     
    Comme le budget moyen d'un policier affecté à ce type de mission s'élèverait à 72.000 euros par an, poursuit le site, citant des calculs de la Cour des comptes en 2010, le coût de la sécurité de Nicolas Sarkozy devrait donc dépasser 700.000 euros par an.
      
    En 2010, dans un rapport dans lequel elle émettait des réserves sur l'utilisation du service de protection des personnalités, la Cour des Comptes avait chiffré à 71.879 euros par an en moyenne le coût d'un policier. Le ministère de l'Intérieur avait alors expliqué que "la décision de protéger ou non une personnalité dépend d'une analyse précise des risques de menaces qui pèsent sur elle", analyse effectuée par l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat) et réactualisée régulièrement.
     
    Quelques dizaines de personnes bénéficient d'une protection permanente du SPHP: outre le chef de l'Etat et les membres du gouvernement, c'est le cas de tous les anciens présidents de la République, Premiers ministres et ex-ministres de l'Intérieur. Valéry Giscard d'Estaing bénéficie de la protection de deux policiers et Jacques Chirac de six auxquels s'ajoute un autre pour son épouse Bernadette, selon parismatch.com. Tous les ministres sortants conservent une protection pendant six mois, sauf s'ils la refusent. 


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  • C’est presque une habitude pour Free qui va de nouveau brader ses forfaits ADSL sur le site vente-privee.com !

    Comme l’an dernier, le FAI devrait surement proposer un forfait à 1,99 euros par mois durant 12 mois, avec option Freebox TV incluse.

    La vente commence mercredi à 7h.

    Mais Free n’est cette fois-ci pas le seul, puisque SFR aussi va brader ses forfaits ADSL sur le site de vente !

    L’opérateur au carré rouge devrait proposer des forfaits attractifs couplés à sa Neufbox Évolution, mais nous n’avons pas plus de précisions. La vente débutera elle aussi demain à partir de 7h.


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  • Mis en examen et écroué en décembre dernier pour le premier des quatre meurtres commis dans l'Essonne avec la même arme entre novembre 2011 et avril 2012, Michel Courtois a été remis en liberté lundi soir.

    Michel Courtois, mis en examen pour le premier des quatre meurtres commis avec la même arme dans l'Essonne entre novembre 2011 et avril 2012, a été remis en liberté lundi soir, a annoncé mardi son avocat, Me Yassine Bouzrou.

    En prison depuis début décembre 2011, cet homme de 46 ans nie avoir tué la première victime, une femme avec qui il avait entretenu une relation amoureuse. Un deuxième suspect, Yoni Palmier, interpellé mi-avril, a depuis été mis en examen pour cet assassinat ainsi que pour les trois suivants.

    Une précédente demande de remise en liberté de Michel Courtois avait été rejetée début mai. Le parquet d'Evry et le juge d'instruction en charge de l'enquête avaient demandé le maintien en détention de l'homme, accusé du meurtre de Nathalie Davids, 35 ans, perpétré le 27 novembre 2011 dans le parking de son immeuble de Juvisy-sur-Orge. Agé de 46 ans, Michel Courtois avait entretenu une liaison avec la victime puis avait avoué les faits en garde à vue, avant de se rétracter. Il était détenu depuis décembre à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, et se trouvait donc sous les verrous lors de ces trois autres meurtres.

    Dans cette même affaire, un deuxième suspect, Yoni Palmier, a également été mis en examen en mai pour cet assassinat. Pour l'heure, l'enquête n'a permis d'établir aucun lien entre les deux hommes, selon une source proche de l'enquête.

    Yoni Palmier est détenu depuis le 14 avril à la maison d'arrêt de Fresnes dans le Val-de-Marne pour les trois autres meurtres commis dans le département avec le même pistolet semi-automatique de calibre 7,65 mm : ceux de Jean-Yves Bonnerue, 52 ans (le 22 février à Juvisy-sur-Orge), de Marcel Brunetto, 81 ans (le 17 mars à Ris-Orangis) et de Nadjia Boudjemia-Lahcene, 48 ans (le 5 avril à Grigny).

    Lors des perquisitions suivant l'interpellation de Yoni Palmier le 14 avril, les enquêteurs avaient retrouvé l'arme du crime dans un box qu'il occupait dans les environs, ainsi qu'une moto correspondant aux témoignages recueillis par les forces de l'ordre.


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  • Selon un rapport de l'ONU publié mardi, des soldats syriens auraient torturé et exécuté des enfants. Certains d'entre eux auraient servi de "boucliers humains" accusent les Nations unies.

     

    Le rapport de l'ONU sur la situation des enfants en Syrie est accablant. Les Nations unis y dénoncent les exactions que l'armée syrienne aurait commises. Selon le rapport, des soldats syriens ont torturé et exécuté sommairement des enfants, et se sont servis de certains d'entre eux âgés d'à peine huit ans comme de "boucliers humains" au cours de leurs opérations contre les rebelles. Le gouvernement figure comme l'un des pires sur la liste annuelle "de la honte" établie par les Nations unies et dans laquelle figure les pays en conflit où les enfants sont tués, torturés et forcés à combattre.

    "J'ai rarement vu autant de brutalités contre les enfants qu'en Syrie, où les filles et les garçons sont emprisonnés, torturés, exécutés et utilisés comme boucliers humains", a déclaré Radhika Coomaraswamy, représentante spéciale de l'ONU pour les enfants dans les conflits armés.

    Le rapport sur "les enfants dans les conflits armés" cite à l'appui les circonstances d'une opération de quatre jours déclenchée le 9 mars par les forces loyalistes -- armée, services de renseignement et milice Shabiha -- contre le village d'Ayn l'Arouz (province d'Idlib - nord-ouest). Les troupes gouvernementales ont raflé des dizaines de garçons âgés de huit à 13 ans avant d'attaquer le village, selon le rapport. Ces enfants ont été ensuite "utilisés par des soldats et des miliciens comme boucliers humains, placés devant les vitres des autocars transportant les militaires pour pénétrer dans le village lors de l'assaut".

    "Soumis à des chocs électriques"

    Les opérations contre des écoles sont monnaie courante, ces établissements servant ensuite de bases militaires et de centres de détention, poursuit le rapport, rédigé avant le massacre perpétré le 25 mai à Houla, où 49 des 108 personnes tuées étaient des enfants, dont certains âgés de deux à trois ans, selon des témoins. "La plupart des enfants victimes de tortures témoignent qu'ils ont été battus, qu'ils ont eu les yeux bandés, contraints à des positions incommodes stressantes, fouettés avec des câbles électriques, menacés de brûlures de cigarettes, et dans un cas, soumis à des chocs électriques sur les parties génitales", ajoute le rapport.
     
    Le gouvernement syrien et les milices à son service sont au nombre des quatre nouveaux entrants sur la "liste de la honte" de l'ONU, aux côtés de partis politiques et d'organisations du Yémen et du Soudan. Cette liste comprend au total 52 protagonistes de 11 pays, allant de la police afghane au réseau Haqqani, l'un des groupes d'insurgés islamistes afghans les plus durs, en passant par l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) d'Afrique centrale et des groupes armés soudanais et du Darfour.


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