• Miami s'est qualifié pour sa deuxième finale NBA consécutive en battant un Boston en fin de cycle (101-88) grâce à l'apport de son "Big Three", LeBron James, Dwyane Wade et Chris Bosh, samedi dans le septième match de la finale de Conférence Est. Le Heat, battu par Dallas l'an dernier en finale NBA, a remporté la série par 4 victoires à 3 après avoir été mené 3 à 2 par Boston et été au bord de l'élimination avec un match n°6 à Boston.

    James (31 points, 12 rebonds), Wade (23 points, 6 passes décisives) et surtout Bosh (19 pts à 8 sur 10 aux tirs, 8 rebonds), qui avait manqué les quatre premiers matches de la série en raison d'une blessure aux abdominaux et qui était remplaçant, ont joué un rôle majeur dans la victoire. Ils ont en effet marqué tous les points du Heat dans le dernier quart temps (28). "Chris nous avait manqué (dans les matches précédents), il est revenu au bon moment, il a mis des paniers importants", a déclaré James, le meilleur joueur (MVP) de la saison, qui jouera sa troisième finale NBA (après 2007 et 2011). "Si nous voulons être champions, il faudra que ce soit collectivement", a prévenu James, arrivé à Miami à l'été 2010 avec le titre comme seul objectif.

    Les Celtics, qui visaient une troisième finale NBA en cinq ans, ont sûrement vécu sur le parquet de Miami la dernière aventure du "Big Four" (Kevin Garnett, Ray Allen, Paul Pierce et Rondo) car avec Allen et Garnett devenant agents libres et une équipe vieillissante, les chances sont minces pour que les dirigeants prennent le risque de repartir pour un tour avec ces quatre-là. "Vous avez toujours l'impression que c'est fini quand vous perdez, a dit Allen avec des larmes dans les yeux, obligé de s'interrompre. On s'est battu, on la voulait si fort. Maintenant ce sont les émotions qui parlent." Miami se déplacera à Oklahoma City mardi pour le match n°1 de la finale.


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  • Dans ce premier grand choc au sommet l'Allemagne est ressortit vainqueur face au Portugal grace a une réalisation de Mario Gomez à la 72eme minute de jeu.

    Pourtant ce match pleins d'espoirs entre deux des plus grandes équipes du tournoi a mis du temps a s'emballer, entre une équipe du Portugal défensif et une Allemagne brouillone dans le jeu le match tant attendu prennait l'allure d'un bon vieux 0-0 dont l'équipe de France a le secret. Seul un tir du Portugal sur la barre transversale réveilla un peu les 33 000 spéctateurs du stade de Lvov situé en Pologne.

    Mais après la pause les 22 acteurs sont revenus avec de biens meilleurs mais malheuresement insuffisant pour nous comblé. Cette victoire de l'Allemagne confirme qu'ils comptent bien répondre présent dans cette compétition mais pour le Portugal cela les oblige a ce reprendre rapidement en cas de défaite mercredi face au Danemark ils seront éliminé dès le premier tour eux qui avaient comme objectif d'aller en quart de final.

     

    Dans l'autre match du groupe énorme surprise avec la défaite du Pays-Bas l'autre grands favoris du tournois avec L'Allemagn et l'Espagne. Cette défaite les oblige a une réaction immédiate au prochain match face l'Allemagne qui ne voudra pas rater une occasion d'éliminer un de ses plus grands rivals dans la compétition dès le premier tour.

    Je vous donne rendez-vous lundi pour l'autre grand choc de cette Euro avec le match France-Angletterre qui esperons le nous offrira un autre spéctacle enfin si les Bleu décident de descendre du Bus comme le dit Platini.


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  • Twitter a changé de logo.

    Twitter n’a même plus besoin de son nom dans son logo pour se faire identifier automatiquement, comme l’explique le réseau social :

    Cet oiseau va être le symbole universellement reconnu pour Twitter. Il n’y a plus besoin de texte, de polices de caractères arrondies ou d’un « t » minuscule pour représenter Twitter

    Twitter espère donc être reconnu à travers le monde sans avoir à mentionner son nom, comme nombre de grandes marques, à l’exemple de Nike ou Macdonald’s.

    Fort de ses 500 millions d'utilisateurs twitters peut esperer remporter son pari.

    Doug Bowman, directeur créatif de Twitter, a expliqué qu'il était constitué de manière plus géométrique : « Il a été conçu uniquement à partir de trois cercles qui se chevauchent, à la manière dont vos réseaux, intérêts et idées se connectent ensemblent et se croisent avec vos camarades et vos amis ».

    Pour la firme, l'oiseau est « le symbole ultime de la représentation de la liberté, de l'espoir, et des possibilités sans fin ». Rien que ça.


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